0r donc, notre bande de joyeux lurons
( petit rappel )
tout de même allègée de quelques énergumènes …
ayant FINALEMENT réussi l’entreprise ( mais NAN pas l’Enterrepraïse comme dans Enterprise !!! l’AN-TRHEU-PRI-ZEUH tout simplement… ) dont il est question depuis le début , se devait désormais de s’organiser sérieusement parce que le
« WE RUN ! »
ça va bien CINQ minutes, mais après c’est lassant, suffit, ras-le-bol.
Mais heureusement, le Michael, que c’est un rusé, « i » pense à tout. Et la réponse universelle à une situation de mouise totale, tient dans un seul mot :
OSWEGO
C’est sûr, un mot pareil, ça fait rêver, et tout de suite l’imagination se déchaine :
Oswego, ses plages, ses cocotiers …
Oswego, l’essayer c’est l’adopter…
Oswego, quand y’en a plus, y’en a encore…
Oswego, même mouillés ils sont secs…
Bref… On pourrait passer des après midis entiers à fantasmer sur un seul mot, OSWEGO , que le rêve serait encore intact.
Sauf que y’en a des qui sont pas poétiques pour deux sous. Et « i » doutent.
Ce à quoi, l’aut, « i » répond avec son petit air de sous entendu assaisonné d’une touche d’impatience
– It’s not where Oswego is, it’s WHAT ‘S in Oswego.
( et nous, béates d’admiration: ooooooooooooooooooooooooooooh !!!! )
Bon.
Voui, ben moi, j’ai percé le mystère du WHERE et du WHAT.
Le WHERE c’est à BO, dans une confiserie qui date d’avant même l’invention du bonbon. Genre la boutique antique de chez Boutique Antique.
En effet Madame et Monsieur Confiseurs izont genre 250 ans à deux, et on se demande comment izont été capable d’apprendre à se servir de leur tiroir caisse super technologique. Quoique… quand il s’agit de pognon… on apprend toujours très vite !!
Mais surtout, the WHAT !!!!
Et là, quand on comprend de quoiqu’il s’agit, on ne peut que partager l’urgentissime besoin de s’y précipiter sans ambages.
Ben voui.
Forcément !
sauf que… issont même pas bons !!!
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TM ® AOC
“BeGood”
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